Toute la communauté participe à la construction de l'école des fleurs du désert
Waris Dirie (ci-dessus) permet aux enfants d'aller à l'école.
Il a déjà vécu beaucoup de choses, mais le père Peter Konteh lui-même a été étonné. En tant que responsable de la Fondation des Fleurs du Désert en Sierra Leone (Afrique de l'Ouest), il supervise la construction des premières "écoles de fleurs du désert" pour nous. L'un de ces projets d'envergure est actuellement mis en œuvre à Allentown. Et comme nous le dit Peter Konteh, toute la communauté est impliquée dans la construction de notre école (voir photos ci-dessous à gauche).
Pour nous, c'est une confirmation que le travail éducatif dans les communautés prend réellement effet. Les familles renoncent au rituel cruel des mutilations génitales féminines (MGF) et veulent envoyer leurs filles à l'école. C'est exactement l'objectif de notre initiative en matière d'éducation. Avec la construction de nos premières "écoles de fleurs du désert" en Sierra Leone, nous permettons aux filles d'aller à l'école. "La seule façon d'arrêter réellement les mutilations génitales féminines est l'éducation et surtout la scolarisation ", explique Waris Dirie.
