Un interview avec Christoph Harreither – EY partenaire et coureur de marathon

L’homme qui traversera le désert glacé

Christoph Harreither pendant l’ultra marathon dans le désert

En Novembre Christoph Harreither traversera le plus grand désert glacé du monde. Dans l’interview il nous révèle ses motifs pour supporter la DFF.

A côté de sa carrière de commissaire de comptes, Christoph découvrait sa passion pour l’extrême suivant une course d’étape au travers les alpes en 2008. Dès lors il cherche le défi et il a participé au plusieurs courses extrêmes autour du monde, comme le passage de Mont-Blanc ou la course de plusieurs étapes Atacama Crossing, le marché Gobi ou le Jungle Ultra en Pérou.

La prochaine course Christoph consacre à la bonne cause et il donnera tous les dons pour la course au traves l’antarctique au projet d’éducation de la DFF „La Fondation Fleur du Désert vous donne la puissance ».  

Quelles sont tes raisons personnelles pour participer ?

En bref : des paysages extrêmes, des rencontres intéressants avec des gens locaux et les défis extrêmes. Mais aussi les éléments non planifiables - ils complètent l’aventure. Il n’est pas possible à simuler un passage de jungle avec 100% d’humidité à Vienne. Aussi, ici on ne trouve pas la chaleur de 60 dégrée, comme dans le désert Dasht-e Lut en Iran. D’aller au sauna ne sera jamais la même chose. L’opportunité de rencontre des animaux comme un Jaguar ou un Cobra au dehors de zoo et improbable. C’est seulement possible sur le terrain et tout cela c’est l’essentiel d’aventure.

La course au travers de l’antarctique et un de plus dure du monde. Comment tu te prépares ?

Pendant toute ma vie. L’entrainement physique est important mais l’entrainement mentale a lieu pendant toute ma vie – depuis 41 ans. C’est décisif pour le succès. Quand mon corps arrive à la limite, ma tête le contredit. C’est toujours ma tête qui me mène au but.

L’exécution pratique : je me lève lundi jusqu’après 4 :00 heures et je pense à la course. Après je cours 100 kilomètres par semaine et quand je m’endors dimanche soir je pense à la course. C’est simple – mais très effective.

Pourquoi la DFF te tienne particulièrement au cœur et quelle était ta motivation de choisir la DFF?

La majorité de compétions était dans le désert. Le Atacama au Chili, la Gobi en Chine ou la Kalahari en Afrique du Sud – tous ces paysages et ces habitants possèdent une grande attraction pour moi. Qu’il s’agisse des déserts arides ou glacés – pour moi ces sont les plus belles régions du monde. L‘origine de la DFF est aussi la zone désertique. Les livres de Waris Dirie m’ont profondément touché et je veux coopérer avec la DFF pour faire fleurir les déserts. Le projet « Livres pour apprendre à lire » contribue à cette cause et je le soutien complétement.  

Pourquoi est l’éducation tellement importante pour vivre une vie que l’on a nous-même choisie et pour sortir de la pauvreté?

Le problème central des pays sous-développés est le manque d’éducation. Je peux seulement puiser de l’eau quand je sais construire des puits. Je peux uniquement abandonner des mauvaises traditions si je connais d’autres façons. Et l’outil est l’éducation ! Sans éducation il n’existe pas de développement et ainsi pas de progrès.

Entre le 19. et 28. Novembre, Christoph Harreither contestera la course au travers l’antarctique ! Nous le souhaitons beaucoup de succès et le remercions pour son soutien sportif !

Vous pouvez aussi supporter la course de Christoph Harreither avec un dons et donner une petite fleur du désert la clef a l’éducation !

 

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